Communiqué de presse de David Rachline, Maire de Fréjus
Devant les risques liés à l’arrivée massive de migrants sur notre sol, le Conseil municipal de Fréjus avait adopté, dans sa séance du 20 septembre 2016, la charte « Ma commune sans migrants ».
Ce faisant, le Conseil réaffirmait son refus de l’accueil de migrants à Fréjus et manifestait son intention, dans le cas où l’Etat viendrait à y imposer cet accueil, de mettre en œuvre tous les moyens légaux pour s’y opposer.
Une position liée au coût induit pour les contribuables locaux et aux difficultés et risques que fait peser cet accueil incontrôlé de migrants sur notre sécurité comme sur les équilibres fragiles de notre société.
Le Forum autoproclamé républicain, jamais en reste pour aller contre le souhait de la majorité des Fréjusiens, avait cru bon de déposer un recours contre cette délibération.
Un recours que le juge administratif a logiquement rejeté, rappelant que, s’agissant d’un vœu, « la requête de l’association le forum républicain est entachée d’une irrecevabilité manifeste ».
La Ville se félicite de cette décision de justice qui illustre une nouvelle fois les motivations purement politiciennes de certaines associations qui font passer leur intérêt médiatique avant celui des habitants. Mais les Fréjusiens ne sont pas dupes.
Nicole Belloubet, ministre de la Justice, a estimé ce jour que le vote du FN sur la loi Asile était une « tactique » pour « déstabiliser l’ensemble de notre système républicain ».
Cette accusation irresponsable d’un des plus hauts personnages de l’Etat est une atteinte très grave à la séparation des pouvoirs et au pouvoir législatif des députés du FN qui ont participé activement au débat sur le projet de Loi immigration et asile présenté par le gouvernement.
M. Gilbert Collard et Madame Marine Le Pen interrogent M. le ministre d’État, ministre de l’intérieur sur une éventuelle régularisation massive de 39000 étrangers sans papiers, séjournant actuellement en France sans droit ni titre.
Cette opération sans précédent a été promise à des associations immigrationnistes, afin de s’assurer de leur relative neutralité lors de l’examen de la loi « immigration asile ».
M. Gilbert Collard et Madame Marine Le Pen interrogent M. le ministre d’État, ministre de l’Intérieur sur une éventuelle régularisation massive de 39000 étrangers sans papiers, séjournant actuellement en France sans droit ni titre.
Cette opération sans précédent a été promise à des associations immigrationnistes, afin de s’assurer de leur relative neutralité lors de l’examen de la loi « immigration asile ».
Communiqué de presse de Philippe Vardon, Membre du Bureau national, Vice-président du groupe FN au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Responsable du Bassin niçois
Le 12 avril dernier, 43 députés En Marche ! ont signé un amendement, dans le cadre du projet de loi « asile et immigration », réclamant que soit reconnu le statut de réfugié climatique, parmi ceux pouvant ouvrir la voie du droit d’asile. Parmi les signataires, on retrouve le député de la 3ème circonscription des Alpes-Maritimes, Cédric Roussel.
L’amendement, qui n’a pas encore été étudié, évoque ainsi « une menace grave… à cause d’une rupture environnementale ».
Proposition de loi portant mesures d’urgence spécifiques à Mayotte en matière de maîtrise de l’immigration et de maintien de l’ordre public.
Lire la suite →Communiqué de presse du Front National
L’Union des Comores a renvoyé, mercredi 21 mars, vers le Département français de Mayotte un bateau portant pavillon comorien, le « Gombessa », avec 93 passagers en grande majorité Comoriens, lui refusant d’accoster dans le port de Mutsamudu dans l’île comorienne d’Anjouan.
Outre le fait qu’il apparaît contraire au droit international qu’un Etat refuse l’accostage sur son territoire d’un navire ayant sa nationalité, il s’agit là d’un acte clairement hostile envers notre pays et contraire aux relations de bonne coopération entre la France et les Comores.